Nous connaissons depuis plusieurs années des problèmes de procréation

16/04/2016

Je ne réside plus dans la maison dans laquelle j’ai été élevé (de la naissance jusqu’à mes vingt ans environ). Mon père y vit toujours. Maison au milieu de parcelles céréalières (limitrophes du jardin et du potager). En revanche mon conjoint et moi-même nous nous nourrissions, jusqu’à il y a quelques mois encore (prise de conscience récente) des légumes, fruits, volailles… qui en provenaient.
Nous connaissons depuis plusieurs années des problèmes de procréation, je suis tombée enceinte miraculeusement l’année passée mais j’ai dû interrompre ma grossesse à sept mois (petit périmètre crânien et multiples malformations physiques de ma fille). Bien que les médecins n’excluent pas la piste des pesticides nous concernant, rien n’est selon eux prouvable. Je reste intimement convaincue que pensant très bien m’alimenter durant ma grossesse, j’ai commis une erreur. J’ai depuis pris conscience du danger qui nous entoure et je pense qu’il est préférable de ne plus consommer ce qui provient du potager de mon père qui profite des pesticides des champs voisins.
Madame Y