L’été, nous sommes obligés ces jours-là de fermer toutes les fenêtres car le nuage de pesticides est immédiatement chez nous.

16/04/2016

Notre propriété est à l’extrémité village, et derrière notre jardin commencent immédiatement les vignes, qui s’étendent ensuite dans toute la plaine.
L’agriculteur réalise environ 4 ou 5 épandages par an. L’été, nous sommes obligés ces jours-là de fermer toutes les fenêtres car le nuage de pesticides est immédiatement chez nous surtout si le vent vient du sud. Ces jours-là nous avons fréquemment des maux de tête. De plus, installés dans cette maison depuis 10 ans, nous nous sommes sensibilisés à plusieurs pollens alors que jusqu’à l’an dernier, nous n’avions jamais souffert de rhume des foins. Nous pensons que la pollution, ajoutée aux pollens les rend plus agressifs, ce qui a déjà été noté au Japon pour les riverains des autoroutes.
Merci de me faire savoir s’il y a un recours étant donné que la vigne est immédiatement le long de la limite de mon jardin et qu’il y a une école primaire à 100 mètres.
Monsieur et Madame Z